mardi 4 août 2009

Eh ben voilà!

C'est fait, je me part en business.

Le genre de business qui te gruge du temps et qui te rapporte pas gros.

Ce serait un peu exagéré de dire que c'est comme du bénévolat parce qu'en principe quand tu fais du bénévolat c'est pour le bien de la communauté. Et je crois pas que lorsque je raconte mes histoires je le fasse pour le bien de qui que ce soit d'autre que celui de mon chum qui aura pas à les endurer. Ou si peu.

J'aimerais vous dire que je vous raconterai des anecdotes sur ma vie, celle de maman, d'amie, d'enseignante et de sex-symbole, mais je crois que ce sera plus que ça. J'aimerais aussi vous faire part des sujets qui me touchent, qu'ils soient sérieux ou irrévérencieux.

En parlant de ça, c'est assez incroyable ce que j'ai appris dans le National Geographic (édition française) de ce mois-ci ... vous savez qu'il y a un peuple de l'Océan pacifique (vivant sur l'île de Tanna plus précisément) qui voue un culte aux marchandises apportées par les blancs depuis le début du XXe siècle? Ils croient en effet que ce sont les dieux qui ont apporté les biens manufacturés aux blancs, par avion, et c'est pourquoi ils ont adopté des rites en ce sens, allant même jusqu'à construire de fausses pistes d'atterrissage afin qu'ils puissent, à leur tour, recevoir ces "dons des dieux".

Fiou. On est capable d'aller sur la lune et pourtant nous connaissons encore si mal la planète.

Mais bref, je m'égare. Tout ça pour dire que je crois avoir pas mal de choses à raconter à qui veut bien me lire. Et puis si personne ne me lis, ça me donnera au moins une excuse pour le ménage pas fait. Les crottes de chien pas ramassées. Les plates-bandes pas désherbées. Le linge sale qui traîne. Et surtout, mais surtout, la séance de gym manquée.

Une chose est certaine, je tiens à ce que vous vous exprimiez. Que ce soit pour me lancer des fleurs, ou même le pot, je veux que vous vous sentiez ici comme chez vous. Sauf qu'ici il faut enlever ses souliers avant d'entrer parce que mon gars joue par terre. Mais sinon, c'est pareil.

Je reviendrai à mon prochain break syndical pour vous présenter mon environnement immédiat, mais d'ici là le devoir m'appelle. Douche je dois aller prendre afin qu'odeurs nauséabondes il n'y ait pas. Ouin bon. Ça c'était mon environnement un peu trop immédiat.

Allez en paix, chers lecteurs. (J'ai toujours rêvé dire ça. Ça et d'une femme de ménage, mais allons! Soyons réalistes.)

3 commentaires:

  1. Bien contente de pouvoir continuer à te lire! :-)
    Ennia:-)

    RépondreSupprimer
  2. Je vais aller te marquer sur mon twitter! ;-)

    RépondreSupprimer
  3. Ennia: Merci!! je suis aussi pas mal contente que tu continues à me lire! J'espère que tu aimeras!

    Caroline: Wow, ce sera la première fois que je serai de près ou de loin sur Twitter. J'suis rendue importante :D

    RépondreSupprimer